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…car harcellée !
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Un suicide de plus dans le monde du travail,
sur le lieu du travail !
Nelly Bardaine,
nommée en 2001 dans la charmante cité balnéaire de Cagnes-sur-mer,
rentrant en juillet de congé annuel,
apprend sa mutation non demandée, reçue comme une punition.
Trop c’est trop… la policière se suicide avec son arme de service.
Les parents et le compagnon ont décidé de porter plainte, notamment pour
« homicide involontaire » et « harcèlement moral ».
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L’avocat a déposé la plainte auprès du parquet de Grasse :
« harcèlement moral, homicide involontaire et soumission d’une personne à des conditions de travail incompatibles avec la dignité humaine …
On a déposé une plainte pour faire avancer les choses, pour décider le parquet à prendre ses responsabilités sur des agissements qu’on lui livre. Le chef de service du commissariat de Cagnes-sur-Mer, on estime qu’il est entièrement responsable du suicide » – (Me A. Verrier avocat de Nice)
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« Nelly n’était pas quelqu’un d’isolé, de dépressif, (…) tout a été recherché mais il n’y a que le contexte travail » a déclaré, Franck Magaud, 37 ans, policier lui aussi et compagnon de la victime.
Il est vrai que cette administration, chargée de protéger les citoyens, paie un lourd tribut en hommes par acte de suicide…
Dus à la « politique du chiffre » ?
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L’enquête de l’IGPN avait conclu à l’absence de responsabilité de son chef de poste…mais il a fallu l’ écarter du commissariat de Cagnes…
des syndicats de policiers ayant protesté contre le retour le 8 août à son poste.
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Sous le soleil
La joie des touristes
fleurissent aussi des fleurs du mal-être…
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